« Vous pouvez être le meilleur alpiniste au monde mais pour le K2, le facteur chance joue à plein. Vous devez être prêt psychologiquement à ne jamais revenir », avait déclaré à l’AFP l’alpiniste grenoblois Pierre Beghin qui avait gravi le K2 en 1991.
Premier Français à « faire un plus de 8.000 m » en solitaire et grand spécialiste de la modélisation des avalanches, Pierre Beghin avait disparu l’année suivante dans l’Annapurna.